Dans ce monde étrange d’aujourd’hui où le commerce prime sur l’art, rencontrer un esprit généreux, véritablement artistique, à la recherche d’une poésie, enthousiaste et fidèle, est un véritable trésor. Quand je travaillais sur mon premier long-métrage « Olma Djon », j’ai eu la chance de rencontrer quelques unes de ces âmes rares dont une, celle
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Dans ce monde étrange d’aujourd’hui où le commerce prime sur l’art, rencontrer un esprit généreux, véritablement artistique, à la recherche d’une poésie, enthousiaste et fidèle, est un véritable trésor.
Quand je travaillais sur mon premier long-métrage « Olma Djon », j’ai eu la chance de rencontrer quelques unes de ces âmes rares dont une, celle de très cher, très précieux ami, Arnaud Frilley.
Dès le premier jour où je lui ai raconté mon idée de réaliser mon film, et sans que j’ai demandé quoi que ce soit, son immense cœur s’est ouvert et à proposé de l’aide gracieuse et si précieuse.
Notre société a collaboré avec sa société de production B-tween d’une façon que je peux souhaiter à tous les cinéastes : d’une façon précise, professionnelle et généreuse.
J’ai pu ressentir en Arnaud cette volonté incontournable de créer avec nous une véritable oeuvre d’art. Unis, nous avancions vers un but commun, et nous avons réussi .
Si le film « Olma Djon » est tel qu’il est et à pu toucher tant de coeurs à travers la planète, c’est en grande partie grâce à B-Tween, à cette équipe merveilleuse, qui nous a donné sans compter tout son talent et dont l’enthousiasme est rare. J’ai beaucoup appris avec Arnaud et ses partenaires et j’espère de tout coeur de continuer notre collaboration si fructueuse le plus longtemps possible. Je partage nos multiples récompenses obtenues dans le monde entier avec Arnaud Frilley et toute équipe de B-tween et je ne les remercierai jamais assez.
Merci. Spasibo, Cher Arnaud.
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